blog

La PNEI et l’axe intestin-cerveau

Blog Single

La PNEI et l’axe intestin-cerveau

A travers la PNEI, incluant l’axe intestin-cerveau, découvrez :
• L’interaction du microbiote sur notre santé mentale
• L’effet placebo et nocebo
• L’influence de l’état de nos intestins sur l’humeur
• La provenance de nos pulsions sucrées
• L’influence promotrice de l’hygiène de vie et de l’alimentation au sein de la PNEI.
 

La PNEI  - La psycho-neuro-endocrinologie-immunologie

  La psycho-neuro-endocrinologie-immunologie (P.N.E.I) est un domaine d’étude scientifique qui étudie les communications       bidirectionnelles entre le système nerveux, le psychisme, le système endocrinien et le système immunitaire et les corrélations  de cette interaction avec la santé physique et psychique.

 Cette approche est globale, elle met en lumière les interactions entre les organes, les cellules, notre choix alimentaire et l’influence de nos pensées et de nos émotions.

Ce changement de paradigme promet une relation thérapeutique avec la médecine et les thérapies complémentaires.

Les bases scientifiques de la PNEI

Le système nerveux (neurotransmetteurs), le système immunitaire (cytokine) et le système endocrinien (hormones) est l’un des principaux mécanismes entrant en relation. Ces trois systèmes communiquent entre eux afin :

·        De déclencher des réponses localisées ou des réponses systémiques.
·       Réguler une variété de processus physiologiques.
·       Réduire la vulnérabilité des individus à certaines maladies.

La communication entre ces 3 systèmes est orchestrée par des messagers chimiques qui transmettent l'information. Il s'établit ainsi un dialogue entre les cellules, les organes et les tissus dans un langage biologique commun. Les informations sont véhiculées par voie sanguine et/ou nerveuse :

  • Le système nerveux utilise une transmission de signaux de type électrique et des neurotransmetteurs ;
  • Le système endocrinien utilise des molécules signal ; les hormones qui circulent et transmettent des signaux spécifiques à distance à leur organe cible ;
  • Le système immunitaire transmet des messages grâce à des cellules qui circulent dans l’organisme et produisent localement des molécules actives des cytokines et des anticorps.

Le microbiote 

Tout le monde vit ensemble

Dans la terre, dans notre biote, dans l’eau les micro-organismes vivent en symbiose.

Le système immunitaire se construit depuis notre naissance par son exposition à la biodiversité des micro-organismes : l’allaitement naturel, le mode d’accouchement et l’exposition aux micro-organismes par l’intégration et la respiration jour après jour (alimentation, pollen, exposition aux poussières). Un système immunitaire armé peut mieux répondre à l’environnement extérieur et son environnement intérieur. Cela contribue à la bonne santé intestinale et immunitaire dont dépend tous nos systèmes physiologiques et métaboliques.

La science du microbiote est en effervescence depuis quelques années. Le marché mondial des probiotiques (microorganismes vivants, principalement des bactéries ou des levures était estimé à 70,36 milliards de dollars américains en 2023 avec une augmentation de 7% chaque année. Ces découvertes font le beurre des industriels, mais le sujet n’est pas là. Les probiotiques c’est identique aux antibiotiques « c’est pas automatique », souvent les probiotiques sont contre-indiqués ou inutiles en rapport avec l’état de notre système digestif et de nos choix alimentaire.

En luttant sur les micro-organismes, par l’agriculture, certains médicaments, le traitement de l’irradiation des végétaux, par l’appauvrissement des sols, notre microbiote ne peut pas être équilibré sans efforts de notre part, si l’on fait la guerre aux microbes. Notre microbiote est à l’image de nos choix alimentaires et d’agriculture.

Le microbiote

Le microbiote est un ami qui nous protège, faisons-nous tout pour qu’il reste un ami pour la vie ?

Le biote (du grec= Vie) = l’ensemble des organismes vivant présents dans un milieu biologiques homogène. C’est un film microbien qui nous isole de l’extérieur, que cela soit au niveau cutané ou au niveau de nos muqueuses internes.

Le microbiote intestinal=  l’ensemble des micro-organismes vivants dans l’intestin : bactéries, levures, virus (bactériophage= régule la quantité de bactéries). C’est le plus dense des microbiotes de notre organisme : cent mille milliards de micro-organismes avec qui nous cohabitons.

Beaucoup d’études montrent qu'une dysbiose intestinale, une altération du microbiote, peut changer le comportement, la vitalité, la mémoire, favoriser une dépression, peut conduire à l'obésité, au diabète, à des intolérances alimentaires, et à l'apparition de maladies auto-immunes.

 

Axe intestin- cerveaux

Ce qui se passe dans votre intestin influence votre cerveau, votre cerveau peut influencer le microbiote intestinale et le fonctionnement du système digestif.

Comment ?

L'intestin est le siège du système immunitaire, il héberge 70% de nos cellules de défenses et 90% des neurotransmetteurs y sont fabriqués par les micro-organismes que nous hébergeons : notre microbiote. Il est constitué de 100 000 milliards de bactéries qui dialoguent en permanence avec notre cerveau. Notre intestin communique avec le cerveau par la voie sanguine, immunitaire, endocrinienne et nerveuse. La voie nerveuse par le nerf vague transmet les informations entre l’intestin et le cerveau.

 

Les différentes voies de communication au sein de l’axe intestin-cerveau.

Les  connexions entre le cerveau et l’intestin est neuronale à travers le nerf vague (80 % des fibres vont de l’intestin au cerveau, 20 % dans l’autre sens). L’intestin est bien notre 2ème cerveau. L’intestin  contient environ 100 à 500 millions de neurones, ce réseau est appelé système nerveux entérique (SNE).

Quelles interactions sur la santé ?

• La population du microbiote « commande » ses aliments préférés par voir rapide via le nerf vague ; le cerveau réceptionne la demande et crée une envie de sucre. Ce n’est pas toujours nous, mais bien nos bactéries intestinales qui sont à la source de nos pulsions alimentaires.
• La bonne santé de l’immunité dépendra de la qualité du microbiote et de la muqueuse intestinale.  La perte de l’intégrité intestinale ouvre la porte et donne accès à des pathogènes et des toxines qui se baladent dans notre sang et ainsi déclencher une réponse immunitaire.
• Nos émotions sont capables de créer des indigestions ; nos indigestions créent un stress métabolique et accentuent notre mal-être.
• Notre stress induit par nos perceptions (selon ce que l’on regarde, écoute ou exprime…) influence l’expression de nos gènes vers la santé ou la maladie.
• Nos choix alimentaires nourrissent la population du microbiote, favorisant les bons ou les indésirables microorganismes, influençant ainsi l’équilibre du microbiote. Le déséquilibre (dysbiose) agira à travers des troubles digestifs (constipation, crampes, ballonnement…), qui, à leur tour, vont influencer l’intégrité immunitaire et intestinale, ainsi que notre santé mentale.
• Les carences alimentaires vont affaiblir tous les systèmes et la fonction des organes.
• L'influence du psychisme sur le système endocrinien. Le stress, le repos mental ou la joie influencent la fabrication d’hormones. La joie favorise la production d’hormones comme la sérotonine et l’ocytocine ; le stress induit la sécrétion du cortisol et d’adrénaline ; le repos favorise la sécrétion de mélatonine et de sérotonine.  Toutes ces hormones influencent le fonctionnement de nos organes et notre santé.
L’inflammation intestinale génère des marqueurs inflammatoires qui  peuvent migrer via la voie sanguine et affecter la perméabilité de la barrière hémato-encéphalique (barrière physiologique du cerveau).
 

 Placebo - Nocebo

• Le placebo, c’est l’autosuggestion bénéfique.
Nos pensées et nos émotions influencent notre santé, mais aussi notre système de croyances. Vous prenez un médicament contre la tension artérielle : cet acte engendre de l’apaisement. On croit que c’est l’effet du comprimé… et si ce n’était pas toujours ou complétement le cas ? Les médocs sont des supports mais ceux-ci fonctionnent  aussi avec notre esprit, nous croyons à leur bienfait.
• A l’inverse, le nocebo est une autosuggestion négative.
On prend un comprimé pour son cœur, et nous nous apercevons bien plus tard qu’un petit malin a remplacé les comprimés et, résultat, notre cœur s’emballe.

Notre système de croyance module nos vies, et ainsi que l’efficacité ou non d’un comprimé : c’est cela  l’effet placebo et nocebo. Ces deux concepts ont été étudiés à travers d’innombrables études et d’expériences personnelles.

Le lien avec émotions

L’importance des émotions est connue, l’action de la souffrance morale affaiblis les fonctions physiques et psychiques. C’est le cas notamment de la tristesse, la colère, la peur, la haine, ainsi que les émotions portant leurs racines ou leurs extensions comme la mélancolie, l’impuissance, la frustration, le culpabilité, etc.

Le souvenir est toujours chargé d’émotions, elles peuvent être vues et reconnues ou occultées. La transformation des émotions libère la charge émotionnelle et l’impact dans le corps physique et psychiques.

PNEI : Alimentation, stress et hygiène de vie

L’alimentation influence le corps, la santé, les messagers chimiques et la maladie

 

Les canaux de communication de l’organisme fonctionnent avec les messagers chimiques : les hormones (système endocrinien), les neurotransmetteurs (système nerveux), les micro-organismes (microbiote), et les molécules immunitaires (système immunitaire).

La bonne communication du message, le bon fonctionnement des messages dépendent entièrement  de l’alimentation, et pas un peu, mais beaucoup !

Tout démarre dans l’intestin, le microbiote est une « usine » à certains neurotransmetteurs.
Certaines bactéries intestinales synthétisent directement des neurotransmetteurs ou leurs précurseurs. Ainsi une altération de la santé intestinale ou un déséquilibre microbien entraîne des conséquences directes :
 sur la production des neurotransmetteurs
 ainsi que les carences de nutriments provenant de notre alimentation. 
Chaque neurotransmetteur a des besoins spécifiques en nutriments. Par exemple :
• la fabrication de sérotonine nécessite du tryptophane, B5, B3, magnésium
• la dopamine dépend de la tyrosine, B6, B9, cuivre, fer

Chaque neurotransmetteur, chaque hormone, chaque molécule immunitaire, chaque bactérie intestinale a besoin spécifiquement de nutriments : acides aminés, vitamines, minéraux, fibres, oligo-éléments, etc. L’apport de ses nutriments est primordial au bon fonctionnement de tous les systèmes dont le système des canaux de communication.

Un microbiote équilibré et un intestin en bon état dépendra de nos choix alimentaires.
Une altération du système digestif engendre la malabsorption des nutriments. C’est assez ennuyeux, carence en nutriments = carence en messagers (neurotransmetteurs, hormones, molécules immunitaires), qui est à l’origine de nombreux troubles de santé, notamment d’ordre hormonal, neurologique, immunitaire et inflammatoire.

 

Le stress sur la santé et l'immunité

L’effet du stress sur la santé et l’immunité a été en premier décrit par le médecin et scientifique Hans Seyles en 1936. Il observe que le stress chronique  se manifeste toujours de la même façon, ce sont les trois phases du Syndrome Général d’Adaptation : Alarme, Résistance, Epuisement.

Les neuro-immun physiologistes ont découvert que le stress, l’anxiété, la dépression affectent non seulement la fonction protectrice du système immunitaire, mais modifient également sa fonction de régulation.

Le stress agit aussi sur le système digestif et favorise la perméabilité de la muqueuse intestinale, le passage de toxines ou d’aliments insuffisamment digérés qui peuvent faire réagir le système immunitaire et causer des inflammations digestives et articulaires.
Puisque l’inflammation est à l’origine de la plupart des maladies, cela pourrait avoir des effets sur l’ensemble des maladies dites chroniques. 

Nos pensées, émotions et croyances influencent directement notre corps

La symbolique à travers nos symptômes

Nos émotions, nos conflits psychiques se matérialisent dans nos corps physiques.

La médecine holistique orientale considère la maladie comme une perturbation énergétique qui vient nous alerter sur les obstacles et les épreuves qui doivent être surmontés afin de retrouver l’harmonie.

Le symptômes sont des expressions physiques de conflits ou de déséquilibres, qui informent, grâce à une langage symbolique, la nature et le sens de nos problèmes.  
• L’asthme peut être dû à l'affliction ou l’excessive jubilation, et se trouve aggravé par un excès d’angoisse.  (On asthma,op.cit.,p81).
• La fibromyalgie est peut-être due a une forte personnalité qui a été dominée ou un tempérament dominant ayant vécu de la violence : « tenir envers et contre tout », est se trouve accentuée par l’effet du stress. 
• L’infarctus, par exemple, nous invite à nous interroger sur une perte de vitalité due à l’épuisement dans le travail ou dans les relations affectives.

Les prestations que je propose traite de la symbolique. Les fleurs de Bach régulent les émotions vécues et empêchent leurs cristallisations dans le corps physique. La luminothérapie holistique HLT  agit sur les émotions, ainsi que les conflits intérieurs ; elle a la capacité de nous libérer de nos chaînes, de nos mémoires, de nos freins et de nos obstacles.

 

Les pensées

Aucune pensée n’est sans effet, il y a des pensées qui nous poussent en avant et d’autres qui nous retiennent. La médecine redécouvre l’effet placebo et nocebo, la pensée agit sur le corps.

 

Les émotions

Les émotions sont des énergies qui nous plombent ou nous élèvent.

Notre état émotionnel influence  notre humeur et nos maux. La colère a la capacité de faire monter la pression artérielle. La joie, la vraie joie, a le pouvoir de détendre globalement le corps physique. La peur contracte les muscles et meurtrit le système rénal. Ce sujet est abordé sur mon blog « les émotions derrière les maladies ».

De nombreuses recherches en PNEI  ont prouvé que nos pensées, nos émotions et nos comportements modulent et régulent les fonctions endocriniennes et immunitaires.  Il a été également démontré scientifiquement que nos émotions négatives augmentent l’inflammation dans le corps, ce qui engendre le risque de maladie chronique.

Notre système neuro-hormonal est influencé par des signaux externes (environnement) et par des signaux internes (état physiologique). Il régule des fonctions vitale grâce aux hormones et aux neurotransmetteurs, en réponse aux stimuli extérieurs et intérieurs.

 

L’hygiène de vie influence le corps, la santé et la maladie

1. Activité physique

La sédentarité est le nouveau fléau de notre santé. Nous sommes assis, couchés, endormis ou stagnant durant des heures. La place de l’activité physique dans nos vies a baisser drastiquement. Cette situation nous pousse à nous activer et sortir de chez nous afin de redécouvrir la monde, la nature, la vie, la communauté à travers la marche, la nage, le vélo…commencez en douceur.

 

2. Les besoins de Maslow

Abraham Maslow reste une référence pour de nombreux psychologues dans le monde entier. Il est connu pour son explication de la motivation par la hiérarchie des besoins humains.

Il représente les besoins fondamentaux nécessaire pour atteindre le bonheur absolu, sans carences, sans attentes, sans souffrances.

Les besoins fondamentaux d’accomplissement de soi sont rarement comblés.  Ce sont des besoins physiologiques, les besoins de sécurité, les besoins d’amour- d’appartenance, relationnel-sociaux, les besoins d’estime.

Malgré l’amour que nos parents nous a transmis ; une carence peut être crée par une situation, a priori anodine, mais qui a blessé l’enfant au plus profond de son être. Un enfant pourra avoir le sentiment d’un vide d’amour malgré tout l’amour reçu. Autre exemple, une perte d’emploi ou un divorce pourra créer une véritable carence dans la vie, comme celle de la sécurité financière.

L’état de nos besoins peut être un bon outil de prise de conscience et de connaissance de soi, il permet à la personne de clarifier très concrètement son état et ses ressources.   Qu’est-ce qui me manque vraiment ? De quoi je manque ?
Je propose cette approche en accompagnement holistique. 

Les besoins cognitifs fondamentaux sont tout aussi importants afin d’éviter une frustration. La frustration des besoins de connaissance entraîne de réels effets psychopathologiques : dont l’ennui, la perte de saveur de l’existence, le désamour de soi, la dépression générale des fonctions corporelles, la détérioration de la vie intellectuelle et des goûts. Les besoins cognitifs sont la curiosité, la recherche de vérité, la recherche d’explication et de compréhension, la réflexion philosophique.

 

3. Les valeurs, les vertus

La PNEI montre que les stress psychologiques prolongés, les conflits intérieurs, la colère ou la rancune peuvent affaiblir notre santé globale (inflammations, maladies auto-immunes, troubles digestifs, etc.).

Et inversement, des états de paix intérieure, de confiance ou d’amour renforcent la régulation hormonale et immunitaire. Les vertus sont de puissants tampons contre le stress émotionnel chronique, principal perturbateur du système PNEI.

Les qualités comme la tolérance, la bienveillance, le respect, l’ouverture d’esprit, l’honnêteté, l’amour, la justice, l’émerveillement, la foi, l’altruisme, l’intégrité, la solidarité etc. promettent une meilleure relation avec nous-mêmes et les autres. Quelques exemples :

Sagesse : favorise la prise de recul, la gestion du stress, de mieux répondre aux agressions quelles qu’elles soient.
Bienveillance : favorise l’acceptation de l’autre tel qui l’est. Cet état d’être nous sors d’une relation de force et nous fait entrer dans une relation d’acceptation.
Pardon : le pardon guérit nos relations, avec nous-même et les autres. Le pardon relâche la rancune, libère des énergies lourdes et favorise la longévité et la santé.
Solidarité : entre-aide, agir pour le bien commun ; comme aider une personne en difficulté.

Une étude longitudinale la plus longue surle bonheur, la santé et le développement adulte :

Harvard Study of Adult Development (également connue sous le nom de Grant Study) lancée en 1938.
Les chercheurs ont collecté une quantité de données sur leur santé physique et mentale :
«Les gens les plus satisfaits dans leurs relations à 50ans étaient les plus sains à 80ans»
«Les bonnes relations nous maintiennent plus heureux, plus sains, plus longtemps. Point final.»
« Les participants en isolement relationnel présentaient un déclin physique et mental plus rapide »
 

4. Contact avec la Nature

La PNEI montre que notre santé résulte d’un équilibre entre les systèmes psychique, nerveux, hormonal et immunitaire. Le contact avec la nature agit comme un régulateur global de ces systèmes.
• Marcher dans un parc ou une forêt active le système parasympathique (calmant) via le nerf vague, qui ralentit le rythme cardiaque et favorise la récupération.
• Des études en IRMf ont montré que la nature diminue l'activité de l'amygdale cérébrale, zone liée à la peur et à l'hypervigilance.
• La cohérence cardiaque s'améliore spontanément dans un environnement naturel (même sans méditer).

L’apaisement généré par la nature procure une baisse du stress, et équilibre l’émotionnel

 

Etudes scientifiques de la PNEI, et des cofacteurs

Stress, dépression alimentation, émotions

• Stress et humeur influencent les choix alimentaires et modifient la composition du microbiote : https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S2352154618301608
• PNI, Stress, alimentation et inflammation : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/20410248/
• Emotions positives et la modulation immunitaire https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/17977695/
• Dépression post-partum et micronutriments : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/22853878/
• Un état nutritionnel et/ou métabolique dérégulé a un impact négatif sur presque tous les types de maladie : https://pmc.ncbi.nlm.nih.gov/articles/PMC6820983/
• Régimes riches en graisses, sucre et comportement (animaux) : https://pmc.ncbi.nlm.nih.gov/articles/PMC6820983/
• Dépression, nutrition, PNI : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/26615538/
 

PNEI -  implications cliniques :  https://waojournal.biomedcentral.com/articles/10.1186/s40413-017-0151-6

• Stress psychologique, fonction immunitaire et développement de maladies : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/16865632/
• La réponse immunitaire sous l'effet du stress : https://arxiv.org/abs/2102.05512
• PNI et influences psychologiques sur la fonction immunitaire et la santé : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/12090368/
• Associations entre les activités nerveuses centrales, endocriniennes et immunitaires lorsque des émotions positives sont suscitées en regardant une personne préférée : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/17977695/
• PNI, Thérapies psychosociales pour les patients atteints de cancer : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/24105361/
• PNI, stress et dépression : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/10826295/
• Historique des interactions psycho-neuro-endocriniennes dans les maladies rhumatismales : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/39168106/

Symbolique, émotions, conflit

• Les symptômes encodent à la fois des réalités biologiques et des histoires de vie personnelles : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/22225930/
• Chaque symptôme comporte un composant somatique (le corps) et un composant latent mental (émotions) :  https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/7340750/
• Une revue des études prospectives souligne un lien entre hostilité chronique et risque accru de maladies coronariennes et décès prématurés :  https://pmc.ncbi.nlm.nih.gov/articles/PMC5042820/
• Des stratégies émotionnelles dysfonctionnelles (suppression émotionnelle, rumination, évitement) sont liées à l’apparition ou l’entretien de maladies cardiaques, douleurs chroniques et troubles divers via une activation prolongée de l’axe HPA et du système sympathique :

Lectures PNEI

La PNEI est encore timide en langue française, les Américains sont les pionniers de cette découverte, ils sont très suivis par les Italiens.
• La PNI de façon scientifique : https://www.andrawis-akademie.com/fr/psychoneuroimmunologie-pni/
• La PNEI – Bottaccioli
• Psychoneuroimmunology – R. Ader
 

Tu as aimé cette publication ?

 Publie cette publication sur les réseaux sociaux: elle pourra contribuer à comprendre le lien entre les émotions et l'intestin, la provenance de certaines maladies et à découvrir la PNEI. 

Partager: